amstramgrampiképikécolégram

CHAPITRE IV

La Personne Agée

A) Dans les faits.

Dans les faits on constate plusieurs étapes d'évolution de la vie humaine. Chaque être humain est débord considéré comme bébé au lendemain de sa naissance, il devient par la suite après de nombreuses années Adulte, il atteind alors sa taille maximum pouvant être de 1m80 pour l'homme, et 1m60 pour les femmes, la peau est alors ferme, les chveux épais et de couleur intense, enfin il devient après de nombreuses autres années, une "vieille" personne. Il est important de considérer l'être humain comme un individu mortel, ainsi chaque jour vécu est un jour de moins à vivre pour l'être humain. On peut alors penser que chaque être humain dispose d'un nombre définit de jours à vivres lors de sa naissance, ce qui va derterminer sa mort. En effet au terme de cette échéance, l'être humain meurt. Ceci se définit par tous arrêt d'activité cérébrale et cardiaque.

B) Le phénomène vieillesse.

Chaque jour qui passe l'être humain voit sa peau de ternir, et voit l'ensemble de son corps s'endommager. Au début de sa vie l'humain dispose de très peu de force, ce qui explique d'ailleurs la dépendance de l'enfant par rapport à ses parents. Adulte, l'humain est au mieux de son développement physique, dispose de beaucoup de force, d'énergie et de vivacité. Plus les années passent, plus l'être humain doit subir la dégradation de son corps. Cette dégradation dans des sociétés développées est relativement ralentis, par de multiples opérations chirurgicales, notamment en remplaçant certaines structures internes et externes de l'organisme. L'être humain dispose d'une structure architecturale complexe qui lui permet d'être bipède, et cette structure osseuse est la première souvent à souffrir de la vieillesse, ainsi les sociétés riches offrent la possibilité aux individus de remplacer certaines structures osseuses après interventions chirurgicales complexes. De nombreuses sociétés n'ont pas cette chance faute de moyen financiers et de savoir-technique, ne pouvant rien proposer aux personnes âgées, qui de fait ont la possibilité de vivre moins longtemps, ce que déplore de nombreux humains sur Terre, une forme d'injustice qui dépasse l'entendement de certaines. La vieillesse a aussi une dimension externe. En effet l'être humain dont l'espérance de vie diminue, voit sa peau de déformer et s'étirer. Les femmes qui disposent de protubérances poitrinales, se voient victimes d'un relachement de ses structures avec les années, la peau tombe et s'étire. Le visage est aussi représentatif de ce phénomène, des fissures dans la peau apparaissent  sur l'ensemble du visage, autour des yeux, sous le coup, les joues, les oreilles, et cela pour les deux sexes. La valeur musculaire de ces individus diminuent fortement, ce qui explique qu'on les considèrent comme des être fragiles, dépendant, des personnes dont on doit le respect et toute l'attention. Le cheveu se grise, très généralement, et une fois sur deux disparait de la surface du crane de l'homme, qui souvent n'accepte d'ailleurs pas cette situation, il s'agit là d'un phénomène social. Ajouté à ça, la personne âgée doit aussi la plupart du temps subir les conséquences de son hygiène de vie menée dans la jeunesse, des personnes qui ont beaucoup travaillés dans des domaines physiques, subissent beaucoup plus de problèmes osseux que les autres. Enfin de multiples maladies apparaissent avec la vieillesse, souvent preuve d'une détérioration toujours plus soutenue de l'organisme. Le coeur fragilisé par le vieillesse connait des disfonctionnements, ainsi que de nombreux organes vitaux. Tous l'ensemble de l'organisme humain se détériore ainsi lentement, d'un point de vue interne comme d'un point de vue externe. Si dans certaines sociétés ont apllique de nombreuses méthodes médicales pour ralentir ces effets, permettant aux femmes de vivrent jusqu'à 85 ans en moyenne, et 75 ans pour les hommes, d'autres sociétés ne disposent d'aucun moyen, ni technique ni financier pour ce genre de problème. Alors l'espérance de vie est beaucoup moins généreuse, dans certains cas, une 40ène d'année de vie prétée est déjà une chance. Un seul être humain à pû une fois survivre jusqu'à l'âge de 123 ans. Il s'agit d'une femme, un cas vraiment unique avant tous dû à un acharnement médiacal et scientifique.

C) La "vieille personne" ; condition sociale.

Le statut social de la personne agée varie selon les sociétés, selon des critères économiques, ou religieux, ou culturel. Selon les choix économiques d'ensemble de l'humanité, la personne agée reste un poids, dans le sens où elle n'apporte plus à l'ensemble de sa communauté. En effet la personne agée de par son âge cesse toute activité professionnelle, et alors n'est plus intégrée aux circuits économiques quels qu'ils soient. Dans certaines sociétés, la personne âgée est un être à respecter plus qu'un autre. Il lui est prété tout le respect possible, tous l'attention possible et toute l'écoute possible. Dans d'autres sociétés les personnes âgées sont sujets à la solitude, parfois délaissés de sa progéniture devenue adulte à son tour, intégrée aux circuits économiques de sa communauté, qui n'a plus ni temps, ni argent, ni écoute à accorder à son "géniteur et éleveur". Dans ces mêmes sociétés, le phénomène semble désormais depuis peu de plus en plus condamné, une volonté nouvelle de la jeunesse semble l'emporter sur un égoïsme ancienne qui a trop durée. Mais ce renversement de situation à des limites, les vacances venues, la personne âgée est de nouveau remise à sa solitude, car considérée par les autres comme un poids. En effet si l'être humain semble capable de très grande génorosité (parfois exemplaire), envers l'animal de compagnie, ou encore les enfants pauvres des pays pauvres, l'être humain est aussi capable d'un égoïsme crapuleux envers ses parents, devenues âgés, puis très âgées. Privilégiant son bonheur personnel, sa carrière personnelle, l'adulte mure peut sans remort, sans regret, sans gène et sans condition abandonner purement et simplement, son père ou sa mère de venue âgée, pour partir très loin exercer son activité professionnelle. La personne âgée est alors soumise à l'ennui, à la solitude, à la dépression, elle doit aussi affronter seule dans un monde qu'elle ne connait plus, tous les ennuis de la vie, sans aucun appuis familial, puisque abandonné et isolé. La personne âgée doit également vivre avec l'idée que sa progéniture qui fut jadis source de bonheur, de joie et de plaisir, l'est abandonnée si cruellement, d'où un développement de la dépression très élevés très généralement chez les personnes âgées. En effet si dans le passé, à d'autres époques, les jeunes prennaient sous leurs ailles et sous leur habitat leurs parents âgés, continuant à leur donner amour, vie familiale et respect, la tendance aujourd'hui est à l'abandon dans de nombreuses sociétés riches. Au pire la personne âgée est abandonnée à elle même, au mieux elle est placée sans condition dans un hospice. Un endroit où la personne âgée est parquée avec ses semblables âgés, qui permet aux jeunes de se déculpabiliser de leur abandon, car ils sont alors convaincue que leurs parents sont entre de bonnes mains. Ainsi ils n'ont plus à s'occuper de leurs "vieux", ils peuvent alors partir en vacances sans culpabiliser, vivre leur vie sans culpabiliser, sans jamais y intégrer leur personne âgée "familiale". Généralement la personne âgée meurt rapidement dans son hospice, où après des milliards de parties de cartes ennuyeuses à mourir, elle finit par renoncer inconsciement voir consciement à la vie. Il en est alors terminé de la personne âgée.

Généralement après cet événement arrivé, la famille (des dizaines et des dizaines et des dizaines de personnes jusque là disparuent) ressurgissent miraculeusement lors d'une cérémonie traditionnelle, où la coutume veut que tous pleur, l'être humain en effet émet sa tristesse en lachant des goûttes de liquides transparents, le long de ses yeux. Il s'agit des funérailles. Cela peut durer deux, trois voir quatre heures, parfois les décendants du défunt, prennent la parole devant l'assemblée que forme toute la famille détruite par le chagrin, cet orateur est alors généralement celui qui pleur le plus, il effectu un discours ventant les dernières années de vie du défunt, et à quel point le défunt laisse un vide. Ensuite tous ce termine et cette très grande famille retourne à ses activités, le phénomène de "pleur" généralement s'achève à ce moment las.      

CHAPITRE III

L'Enfant

Ce terme est employé dans le cadre d'un être humain miniature, venu au monde dernièrement. Il s'agit en effet d'un être humain miniature, issue d'une harmonie plus ou moins réelle entre deux individus, un homme et une femme dans ce cas. Deux hommes, ou deux femmes, apparaissent physiquement incapables même dans le cas d'une harmonie sincère, de mettre au monde "l'Enfant". En effet seul l'emboitement du sexe masculin dans celui du sexe féminin peut faire apparaitre l'enfant. Celui-ci est alors appelé Bébé, environ les deux premières années de sa vie, théorie d'ailleurs à discuter, puisque certaines femmes nommeront leur "enfant", "mon bébé" toute leur vie. Il s'agit alors d'un terme affectif. "L'Enfant" apparait éjecté du bas ventre de la femme au boud de neuf mois de gestation, durant lesquels l'enfant s'est développé. L'être humain fait parti des espèces présentent sur Terre, qui garde le plus longtemps en gestation "l'enfant". L'Eléphanteau est éjecté du ventre de la femelle après 22 mois, le girafon après 19 mois. Cette éjection se fait généralement dans une violence réelle, accompagnée de souffrances diaboliques pour la femme. Celle-ci parait généralement cependant prète à reproduire l'expérience plusieurs fois au cours de la première moitié de sa vie, cela varie en fonction des sociétés, certaines femmes de certaines sociétés reproduiront l'expérience une dizaine voir une quinzaine de fois, alors que certaines femmes issuent d'autres sociétés, se limiteront seulement à une deuxième fois. Certaines ne connaitront jamais la gestation, physiquement incapables de porter en elle "l'enfant"! Ceci peut être à l'origine de souffrance psychologiques réelles et présentent durant toute la vie, c'est pourquoi certaines sociétés acceptent le droit à ces femmes dite "non fertiles", d'élever et de materner l'enfant d'une autre femme, qui quand à elle s'avère incapable d'élever "l'enfant".

"L'enfant" voit sa vie toute tracée dès sa naissance, selon qu'il soit un futur Homme, ou une futur Femme. Toute l'éducation de celui-ci est organisée selon son sexe. Ses fréquentations futurs, ses jouets, sa chambre, ses goûts, ses choix de personnalité et bien d'autres seront directement influencés par justement l'origine de son sexe. Il est dificile de dire quand "l'enfant" devient homme ou femme, cela dépend des choix des sociétés dans ce domaines. Dans certaines régions terriennes, l'enfant sera adulte à 15 ans, alors que dans d'autres il ne le sera qu'à 18 ans, du moins légalement. Dans les faits, l'enfant dans les sociétés développées, où l'individu adulte est avant tous un individu indépendant professionnellement et financièrement, est souvent jugé adulte qu'après ces 20 ans et parfois davantage selon qu'ils étudient longtemps ou non. "L'enfant" apparait comme un investissement indispensable pour chaque parent, puiseque c'est l'enfant devenu adulte qui pourra parer aux besoins de ses parents des décénnies plutard, qand ceux-ci auront atteind un certain état que nous qualifieront de "péramption". En effet l'être humain semble subir un état de dégradation physique tout au long de sa vie, jusqu'à atteindre la mort. L'enfant devient donc un moyen d'investissement d'avenir à très long terme indispensable.

Lâge d'utilité de "l'enfant", comme nous l'avons vu varie selon les sociétés. Dans certaines sociétés, 20 à 25 ans semble l'âge correct dans la moralité collective. Il apparait que l'enfant peut alors entrer dans la chaine de production, il devient parfaitement efficace dans le système productif de la société, et est très utilisé dans tous les domaines, car le jeune adulte fait acte d'une force physique très intéressante à exploiter. Il devient alors autonome et doit affronter les mêmes difficultées de la vie que ses parents ou n'importe quel autre adulte, tels les difficultées financières, la cruauté de certains individus, la violence, la disparition de proches, puis à son tour sera en mesure d'investir dans son propre avenir, en procréant également. Le jeune adulte se voit aussi offert un rôle dans sa société ou sa communauté, il obtient de droit de voter, et est ainsi théoriquement représenté dans la vie politique de sa Nation.

Le choix de vie de l'enfant est un sujet bien complexe. Toutes les sociétés admettent la division de la vie et du monde, en deux pôles, le bien ou le mal. Selon les sociétés le bien ou le mal peuvent être différents. "L'enfant" devenu adulte peut faire son propre choix, même si ses parents ont toute leur vie tenté cette orientation. Chaque parent tente d'éduquer son enfant au bien. Cependant celui-ci malgré une très bonne éducation, structurée, réfléchie et saine peut malgré tous développer des intérêts à une existence condamnée par la morale collective. Le jeune adulte peut dans ce cas vivre du vol, fait partis de groupe sociaux qui inquiètent et terrifient. Il peut faire le choix à un moment donné de sa vie d'agir à oter la vie d'un de ses congénaire pour de multiples raisons, qui lui sont propres. En effet les êtres humaines ont depuis toujours fait acte de cruauté, il ne s'agit pas d'une généralité, cependant certains humains peuvent être extrement violent, et peuvent tuer d'autres êtres humains qui leur sont pourtant égaus et identiques. D'autres jeunes adultes au contraire vont pouvoir faire le choix de vie basée sur le bien, l'amour, la bonté, la générosité et autres. Dans ce cas là le respect de la vie d'autrui apparait comme fondamentale. Il est très souvent arrivé dans les sociétés humaines, que ces individus du bien, soient les victimes des individus du mal. L'orientation du "devenir" d'un être humain est ainsi très complexe et ne s'explique pas uniquement par ces théories expliqué ici.

Il arrive un jour ou l'enfant n'est plus ni enfant, ni jeune adulte, ni jeune parent, mais apparait comme une vieille personne, qui après être apparut sur Terre, est contraint à disparaitre chaque jour un peu plus, jusqu'à atteindre la fin de la vie. Ce phénomène se retrouve dans toutes les sociétées, dans les sociétés développées, ce phénomène intervient environ autour de 75 ans chez les hommes, et 85 ans chez les femmes, en moyenne. L'être humain apparait donc une antité périmable, qui ne peut espérer la vie éternelle, même si il s'agit d'un désir caché souhaité par chaque unité, mais sans espoir, tous le savent bien. La mort est ainsi la dernière issue de chacun d'entres eux, parfois selon l'état de vieillesse, la mort peut apparaitre presque comme une libération pour les proches de l'individus, mais quoiqu'il arrive, la disparition d'un être humain laisse toujours et dans tous les cas, une tristesse profonde et le désaroit, pour les proches et la famille. La mort est vécu chez l'humanité comme une tragédie réelle, qui laisse des bléssures éternelles et profondes. Les êtres humains sembles incapables d'oublier une personne disparut, et cela durant toute leur vie. Le sentiment de manque, de regret, de tristesse devient un quotidien avec lequel les êtres humaines ne savent pas comment continuer à vivre. Parfois, certaines font le choix de justement pas continuer à vivre après le départ de l'un d'entre eux. Et malheureusement certaines sociétés en s'affranchissant des légendes religieuses qui jadis appaisaient, et faisaient relativiser la mort comme le début d'autre chose de plus beau, vivent désormais la mort d'un proche comme une tragédie insurmontable, comme la fin d'une fin. L'humanité porte ainsi des souffrances profondes. Et selon le fonctionnement de la vie humaine il parait évident que chaque être humain doit subir la mort d'un proche plusieurs fois dans son existence, plusierus fois dasn sa vie. 

CHAPITRE II

Sexualité

A) La normailité par la normalité

Depuis toujours les sociétés humaines définissent la normalité sexuelle, comme une harmonie entre un homme et une femme. Comme nous l'avons vu, l'homme possède un sexe extérieur, un plus ou moins apendice, plus ou moins grand, plus ou moins gros, plus ou moins petit. La femme possède un sexe interne, pouvant contenir le sexe de l'homme. Ainsi il est indispensable de considérer le rapport sexuel entre un homme et une femme, comme une action pénétrante. Pour trouver l'harmonie, l'homme doit pénétrer en la femme par son sexe en situation "d'érection". Le sexe de la femme reste en toute circonstance le même, ne subit aucune déformation ou transformation, avant, pendant et après la pénétration en elle du sexe de l'homme. Cette pénétration précisons-le, s'effectue à l'entre-jambe de l'homme et de la femme. Il ne peut fonctionner que par un système de va-et-vient entre l'homme et la femme, généralement effectué par l'homme, mais ceci n'est pas toujours une vérité, ce système de va-et-vient peut être aussi effectué par la femme, qui voit alors une possibilité de renverser sa situation de dominée, en dominante. Dans certaine société, le rapport sexuel de la femme ne se définit que par une situation de dominée permanente. Les hommes et les femmes ont la possibilité de s'adonner à de multiples positions. Verticale, horizontale, face à face, le femme retourné par rapport à l'homme. Les hommes et les femmes ont aussi la possibilité de s'adonner à des rapports à plusieurs, une femme et deux hommes, deux femmes et un homme généralement, mais aussi plusieurs femmes et plusieurs hommes. Dans ce cas là, la femme possède la faculté de pouvoir contenir les sexes de deux hommes, un par son sexe proprement dit, et l'autre par une voie optionnelle.

B) la bisexualité

Si les hommes et les femmes peuvent s'adonner à des rapports à plusieurs, notamment une femme en harmonie avec deux hommes, un homme peut être en harmonie avec une femme, tout en étant en harmonie avec un autre homme. Ce genre de sexualité tout à fait réel et fréquent est souvent jugé et déconsidéré par les sociétés. Deux femmes peuvent aussi trouver l'harmonie entre elles, en même temps que l'une d'entre elle trouve aussi l'harmonie avec un homme. Un homme ne peut pas trouver l'harmonie en même temps avec deux femmes, souvent à regret. Un homme peut choisir de trouver l'harmonie avec une femme seule un jour, et trouver l'harmonie avec un autre homme seul un autre jour. Il en est de même chez les femmes, une femme peut trouver l'harmonie avec une femme seule un jour, et trouver l'harmonie avec un homme seul un autre jour. C'est le propre de la bisexualité chez les être humains, que l'ont peut retrouver chez d'autres espèces vivantes.

C) Homosexualité

Depuis toujours ce phénomène existe, mais n'est reconnu et toléré que depuis peu dans quelques pays. Depuis toujours certains hommes éprouvent l'incapacité à trouver l'harmonie sexuelle avec une femme quelqu'elle soit. Seul le désir pour les autres hommes est leur réalité et le quotidien. Il s'agit d'une minorité mais normal chez les hommes, officiellement déclarée par les spécialistes humains sur la question. En effet les humains aiment étudier les rapport sexuels de leur propre espèce vivante. Le rapport sexuel entre deux hommes, s'effectue aussi par l'intermédiaire de l'entre jambe pour l'un et par la partie extra-inférieure du dos par le second, le fessier. Le partenaire qui opte pour offrir la partie extra-inférieur de son dos, obtient un plaisir évident, mais différent selon les individus, pour certains il sera véritablement physique, pour d'autres il sera davantage psycologique selon le niveau d'harmonie partagé avec son partenaire. Le second protagoniste de ce genre de comportement quant à lui éprouve toujours un plaisir physique puice que finalement la pratique sexuelle reste de même principe qu'avec une femme, avec un système de va-et-vient, mais ce plaisir peut-être renforcé également par l'harmonie éprouvé entre les deux protagonistes. En effet si deux hommes peuvent pratiquer un rapport sexuel sans harmonie, sans sentiment, deux hommes peuvent aussi pratiquer ce genre de comportement par désir physique et par harmonie, par sentiments profonds et réels. Tous comme les rapports sexuels entre homme et femme, les rapport sexeuls entre hommes peuvent être sans sentiment, purement physique et souvent bestial, animal et violent. Dans le cas de sentiment, il peut être véritablement aussi tendre, affectueux et doux dans tous les cas possibles, homme et homme, femme et homme. Dans certaines sociétés, ce genre de comportement, reste condamné par la société au mieux, sujet à des procédures de justices, de condamnation, de mutilations génitales barbares définitives ou de peine de mort. Ajouté à une condamnation morale, des individus qui s'y adonnent, mais aussi à leur proches, à leur famille. Effectivement, certains êtres humains peuvent considérer la famille de l'individu qui s'adonne à ce genre de comportement, comme responsable d'une infamie perverse et réelle, et certains encore peuvent souhaiter une condamnation morale par la société de la famille et des proches, de l'individu considéré comme pervers, jugé comme un animal, ou un monstre dont tout le monde à peur. L'Homosexualité des hommes peut prendre deux orientations. Certains font le choix de la discrétion considérant cette orientation sexuelle comme une simple affaire de goût d'ordre privé, dans le genre "certains aiment le chocolat, les voitures, la vodka et les femmes", d'autres "aiment le caramel, les motos, le rhum et les hommes". D'autre ont le sentiment d'un combat à mener et désire alors faire le choix de l'indiscrétion, ce qui peut passer par s'abiller en femme, mais plus majoritairement cela signifie "ne pas se cacher". C'est un choix délicat et loin d'être sans concéquence parfois, puisque cela peut entrainer des ruptures familiales dans certains cas, les pères notamment ont du mal à accepter les rapports sexuels de leur fils avec d'autres hommes. Parfois des mères peuvent aussi remettrent en cause l'éducation qu'elles ont pu donner à leur fils, regrettant un trop important maternalisme par exemple. Certains parents peuvent même simuler l'acceptation de l'orientation sexuelle de leur fils, mais vont détruire leur couple en multipliant les repproches à l'un et à l'autre, s'obstinant à trouver un responsable à l'homosualité de leur enfant. Ceci peut être aussi le cas dans le cas de l'homosualité des femmes ; des filles. Certains pays considérés comme en avance l'égalise l'union de deux personnes du même sexe, alors traditionnellement réservée aux personnes de sexes différents. En général ces décisions politiques sont en avance avec les propres valeurs morales des citoyens du pays majoritaires dit hétérosexuels. On retrouve ce phénomène dans les Royaumes Néerlandais, Espagnols, Belges, mais aussi dans certains états des Etats-Unis d'Amérique. D'autres pays continuent dans leur haine vicérale envers les homosexuels des deux sexes, prétextant des valeurs morales et religieuses millénaires et dépassées. Cependant des siècles avant J.C, l'une des civilisations les plus avancées, que fut la Grècce Antique, tolérait l'homosexualité, l'acceptant et la pratiquant comme n'importe quelle autre activité sociale et morale traditionnelle. On pouvait trouver des endroits exclusivement réservés aux pratiques homosexuelles d'hommes mariés avec de jeunes hommes, qui jouissaient alors d'un statut professionel parfaitement légal, toléré et accepté. Certains hommes riches pouvaient aussi s'offrirent les services de jeunes domestiques-sexuels dont ils se chargeaient de l'éducation, sans aucun secret pour leur famille et leur entourage. Il s'agissait d'un comportement parfaitement, une fois de plus, toléré, légale, et accepté. Enfin au XXIème siècle et déjà depuis la deuxième moitié du XXème siècle, certains individus nés hommes, homosexuels, qui se considèrent "âmes" de femmes coincés dans un corps d'hommes, s'imposent plusieurs interventions chirurgicales afin de devenir véritablement physiquement du moins, définitivement femme. Ceux-ci acceptent l'ablation de leur sexe masculin, afin de se faire construire un sexe féminin. Iles devienent alors définitivement et légalement"femme".

Chez les femmes l'homosexualité est tout aussi complexe. Elle peut être le résultats de conséquences sociales avec les hommes, désastreuses. Mais ce n'est pas une généralité. L'homosexualité chez les femmes peut prendre comme chez les hommes, deux formes. Une première orientée d'un choix discret, c'est à dire souhaité dans une optique "non visible", avec une féminité totalement épanouïe et ordinaire. Dans d'autres cas, celle-ci peut être volontairement indiscrète. Il s'agit alors de femmes désireuses d'atteindrent une ressemblance physique avec les hommes. Cela passe pas une coupe de cheveux très court, alors que les femmes ordinaires ont généralement les cheveux long, symbole de féminité, également l'apparence vestimentaire est étudiée pour être identique à celle de n'importe quel homme. Certaines femmes, très minoritaires essentiellement concentrées dans les sociétés modernes d'Europe de l'Ouest et d'Amérique du Nord, s'imposent des interventions chirurgicales afin de perdre leur deux protubérances poitrinales, pour obtenir un buste identique à celui d'un homme normal. Cela dit on ne connait pas encore de cas d'implantation de sexe d'hommes sur des femmes, ni de quelquonques tranformations de sexe. L'Homosexualité féminine occasionnelle peut être dans les sociétés sexuellement libérés, sujet aux fantasme chez les hommes attirés par les femmes, cependant l'homosexualité totale de femmes est souvent sujet à l'incompréhension de certains hommes, qui voit en ce désir unique de femmes envers d'autres femmes, une insulte à leur virilité, ou du moins à leurs performances sexuelles. L'Homosexualité des femmes pourrait être qualifié de sujet Taboo, puice que cette réalité est très peut abordé sur les antennes télévisuelle, dans les médias et divers centres d'informations culturelles. Alors que l'homosexualité des hommes est depuis quelques années extrêment développées, souvent sujet de conversation, car ceux-ci peuvent parfois souhaiter une véritable volonté de prise de concience de leur existence, ce qui passe par beaucoup de revendication publiques.

D) La trans-sexualité.

La transexualité est un phénomène relativement récent sur Terre, uniquement possible dans le cadre du développement de la chirurgie esthétique à grande ampleur. Les individus ainsi qualifié de "transexuels", affolent, inquiètent et sont sujet à la plus grande incompréhension méprisante possible, de la part de la société traditionnelle. Deux groupes d'individus "transexuels" existent ;

- Certains individus, qui aime à s'adonner à l'harmonie avec un partenaire du même sexe que le leur, peuvent développer le désir profond de définitivement changer et modifier leur sexe, notamment l'homme qui se porte volontaire à l'ablation totale et parfaite de son sexe de naissance, afin que soit reconstruit un sexe identique visuellement et de fonctionnement que le sexe de naissance de la femme. Dans ce cas là, l'individu qui peut dans certains cas avoir été malheureux toute sa vie suite à avoir été contraint de supporter un corps d'homme, se voit libéré d'un point psycologique et psychique, par la transformation de son corps de naissance, en un corps identique à celui du corps de naissance d'une femme.

article non terminé_____en chantier_______ car très complexe

Chapitre I

Descriptif primaire

Introduction

On compte au début 2006, plus de 6 Milliards d'êtres humains sur cette toute petite planète Terre. L'humanité se compose de deux sortes d'humains différents, l'homme en général le plus grand se distingue par une pilosité généralement plus dense, et par un sexe extérieur, mesure environ 1m80 pour une moyenne de 70Kg. Enfin la femme, souvent plus petite mesure environ 1m60, pour environ 60 Kg, mais ceci est très variable, certaine peuvent atteindre jusqu'à 200 Kg, d'autres à l'inverse peut froller les 25 Kg, mais ceci est du à des maladies mentales et physiques, très difficile à cerner. Particularité en plus de se distinguer par un sexe interne, les femmes sont actuellement moins nombreuses sur Terre, mais encore aujourd'hui elles peuvent vivrent beaucoup plus longtemps que les hommes.

A) L'Homme

Pour une taille de 1m80 pour 70Kg en moyenne, les hommes sont numériquement plus nombreux que les femmes, et ceci sur toute la planète. L'homme tous comme la femme, est une création complexe. Il se distingue comme on l'a déja dit par une pilosité généralement plus dense que la femme. Certains hommes peuvent avoir une pilosité naturellement casi inexistante, d'autres à l'inverse ont une pilosité extrêment dense. Si tous on le sommet de la tête recouvert de poils (les cheveux), cependant trois catégories d'hommes peuvent être distingués. Les uns n'ont comme seule pilosité, la partie inférieure du visage, et secondairement la partie supérieure du sexe. D'autres que nous qualifieront de "pileux moyens", ont une pilosité moyenne sur la partie inférieure du visage, la partie centrale de l'abdomen et du torse, le contour des parties génitales, ainsi que les jambes, et le fessier, généralement c'est au niveau des jambes que celle-ci est la plus dense. Enfin plus minoritaire mais fréquents cependant, d'autres seront qualifiés de "très poilus". En effet ceux-ci peuvent avoir une pilosité très brune, épaisse massivement présente sur 100% du corps. Le "poil" pour l'homme est souvent sujet de fièreté, de maturité, preuve de virilité extrêment importante. D'autres que nous considéront comme davantage "moderne", peuvent durant toute leur vie, mener un véritable combat contre les poils, s'imposant plusieurs séances d'épilation au cours de leur vie. On constate aujourd'hui au début du XXIème siècle, que les hommes très peu poilus, remportent un succès esthétique souvent plus important que les autres.

L'homme contient toute sa vie de multiples fièretés. Notamment son sexe. Il peut changer de forme selon les circonstances. Il est qualifié de "mou" environ 23h sur 24, le reste du temps il est en situation "d'érection", se qui signifie "dure". Le sexe de l'homme est composés de trois éléments, une partie centrale alongée et plus ou moins longue, escorté de deux protubérances inférieures rondes ou ovales, à droite et à gauche de la partie centrale. Celui-ci est étudié visiblement pour s'emboiter parfaitement avec le sexe normal d'une femme normale. L'erection du sexe masculin, est dû à une attirance sexuelle pour les qualités et parfois défauts, physique de la femme. Certains hommes, développent une attirance minoritaire mais normale pour un partenaire de même sexe, et dans ce cas, seul le sexe de l'un des deux partenaires est emboitable avec le corps du second protagoniste. Certains humains développent une animosité vicérale pour ce genre de relation, mais ceci tente à disparaitrent, lentement mais surement. Certaines sociétés reconnaissent le droit à deux hommes de s'unirent, et d'exister dans un même foyer, d'autres encore très majoritaires, continuent une guerre sainte contre ce genre de comportement.

Selon sa position géographique dans le monde, et selon sa propre société, les hommes sont différents. L'homme généralement et phisiquement plus musculaire que la femme, s'est partout sur Terre, pendant longtemps et dans une moindre mesure aujourd'hui, consacré à ce qu'il appel lui même "travaux d'hommes". Ce qui signifie un monopole dans tous les travaux physique d'exterieur, la construction, la déconstruction, le transports de charge, notamment parmis tant d'autres. Dans certaines sociétés, il consomme massivement certains produits comme l'alcool ou le tabac, alors que dans d'autres cette consomation est fortement condamnée. L'homme développe une facination pour la mécanique, et la technologie. Dans certain pays la virité est mesurée dans la capacité  à fabriquer, réparer et à posséder multiples accessoires mécaniques, telles "la moto", "la voiture" par exemple. Massivement, pendant longtemps et encore aujourd'hui, l'homme développe un manque de confiance en soit pour les taches ménagères, le ménage, l'éducation primaire des enfants, l'entretient, la gestion et l'organisation de son habitat. Certains hommes, minoritaires mais de plus en plus nombreux dans les sociétes très développées et égalitaires, tentent aujourd'hui d'en finir avec cette ingérance de l'habitat, et sont aujourd'hui maître dans le ménage, l'entretient de l'habitat, la cuisine, et sont qualifiés de "maniaques", l'existence d'un mot pour qualifier ce comportement, est la preuve même qu'il s'agit d'un groupe minoritaire qui intrigue fortement.

B) La femme

Tous les différents dialectes humains parlés sur Terre, adoptent un autre vocabulaire et une autre orthographe pour cette catégorie d'être humain. La femme peut vivre en moyenne 85 ans dans les pays les plus développés, une femme à atteind 123 ans en France, alors que le plus vieil homme recensé est unAlgériens de 110 ans. La femme comme l'homme possède une pilosité naturelle, mais cependant fortement rejeté et indésirée. Tous au long de sa vie une femme moderne entreprend une véritable guerre contre les poils, s'infligeant de terribles séances de tortures, d'épilation totale, des jambes, des parties génitale, de la lèvre supérieure, mais aussi parfois dans certains cas, des bras et des pieds. Véritables séances de tortures les épilations féminines sont cepdant indispensable, puice que visiblement une femme non épilée est sujet à la critique par la société masculine. La femme d'environ 1m60 à 1m65, pour normalement et génralement 55Kg à 60Kg, souffre fréquemment et partout sur la Terre, d'une incapacité à trouver ces marques en terme de poids. Certaines femmes, minoritaires mais relativement nombreuses selon les sociétés, peuvent atteindre 25 à 30 Kg, suite à des dérèglements alimentaires. Alors victimes du regard de leurs semblables mais aussi des hommes, ce phénomène est dû à une anomalie provoquée, relevant d'une dificulté psyciatrique et psycologique. Celles ci inquiètent l'extérieur et la société par leur fragilité, et doivent être prisent en charge par la société par une hospitalisation, pour éviter une mort certaine et souvent pouvant être douloureuse. D'autres femmes, qui s'alimentent eccèssivement, peuvent atteindre 200 à 250 Kg. Un phénomène qui existe aussi chez les hommes, mais de façon plus minoritaire diront-nous. Ces femmes peuvent avoir souffert au cours de leur vie de tromatismes divers, mais généralment, il s'agit uniquement d'une sur-alimentation régulière qui s'est développée, provoquant de multiples risques vitaux en premier lieux, mais aussi provoquant une forme de racisme injustifé du reste de la société. Ces femmes jugées, peuvent développer une tendance à une existence reclue dans leur habitat, agravant davantage la situation, car une réalité de l'être humain, l'ennui provoque davantage la faim! Les autres femmes majoritaires, en moyenne 55 à 70Kg, continuent à se trouver toujours trop grosses, ceci marque bien une incapacité de la femme à trouver sa place dans la société, hésitant sans cesse sur la réalité idéale de son poids.

La femme se distingue par un sexe interne au corps, c'est à dire qu'il ne comporte aucune protubérance visible à l'oeil nu. Celui-ci peut contenir sans dificulté le sexe de l'homme moyen, par un système de va-et-vient, ainsi les deux êtres se procurent harmonie et symbiose. Ce comportement peut avoir très fréquement comme conséquence, la conception d'un troisième être humain, cependant absent lors du rapport sexuel des deux premiers, il s'agit de "l'enfant", une forme d'être humain miniature. La femme également peut développer une attirance pour un individu de même sexe que le sien. Alors aucun emboitement naturel peut avoir lieu entre deux femmes, s'adonnant à une autre forme d'harmonie, inconnue et incompréhensible pour la majorité des hommes non attirés par des individus de leur propre sexe.

La femme a depuis toujours une position très complexe dans les sociétés humaines. Certaines sociétés faisaient des femmes leurs déesses, baptisant de prénoms de femmes, leurs dieux. D'autres sociétés ont durant des milliers d'années considérées les femmes comme des êtres secondaires, parfois sans âme. Les femmes n'avaient aucune liberté, d'apprendre, de choisir son partenaire sexuel, de baptiser ses enfants, de voyager, d'avoir des idées, par exemples, mais il y en a tant d'autres. La casi moitié de la planète, à fait un choix après des milliers d'années de rendre libre leurs femmes. Elles ont pu alors apprendre à lire à écrire, elles ont pu alors développer des idées structurées et réfléchies, modifiant bien souvent leur société, parfois au grand dame des hommes, hostile à un monde égalitaire. Aujourd'hui encore quelques sociétés, où les femmes sont des millions et des millions, continuent de croire à une infiriorité des femmes, les voilant, leur ottant la parole, en abaissant leur existence à celle de n'importe quel autre animal. Dans ces sociétés les femmes souffrent, n'ont aucun moyen d'organisation pour renverser cette situation, parfois ne sachant même pas qu'ailleurs dans les le monde d'autres femmes dirigent des hommes, d'autres femmes sont libres, sont chefs de partis politiques, d'autres femmes ont des carières professionnelles, en conclusion ont une autre vie que la leur, ne se limitant pas qu'à la procréation. Enfin dans d'autres sociétés, les femmes qui ont été tout aussi malheureuses durant des millers d'années sont aujourd'hui libres, indépendante, sont mise légalement à égal position avec l'homme et sont libre de leur vie sexuelle. Dans ces sociétés, on trouve des femmes aux plus prestigieuses intitutions politiques, notamment à la direction de toute une nation. Cependant on s'étonne du manque d'organisation et d'intérêt des femmes de ces sociétés libres, pour aider les femmes-marchandises de ces pays sous développés. En effet les femmes des sociétés libérées ont souhaitée une telle égalité avec les hommes, qu'elles ont développées les mêmes défauts des hommes, notamment l'individualisme, presque génétique chez l'homme.